Le Sahara de Maximilien Bruggmann

Le « petit » matériel de Maximilien Bruggmann au Sahara. De gauche à droite: enregistreur sonore Nagra II à manivelle, boîte de protection des films contre le sable, appareil photo Nikon, boussole et son étui. Dans le fond, quelques-uns des livres illustrés par Maximilien Bruggmann.

Dans le sable avec sa caisse photo et son posemètre.

La caisse photo, la bâton de marche, la gourde et le livret du film « Ombres bleues du Tassili ».

Livret du film « Ombres bleues du Tassili » présenté en 1962 à Paris, en province et à l’étranger sous l’égide de « Connaissance du Monde ».

Caméra Bolex en mains, dissimulé en bas à gauche de l’image, Maximilien Bruggmann filme en 1961les Touareg du Tassili.

En 1961 à Djanet avec le commandant de la place et un dignitaire targui.

Bien avant le GPS, le seul moyen de prévoir son itinéraire consistait à juxtaposer des photos aériennes hors de prix.

Oued Mathendous. In Habeter III. — L’équipe de Maximilien Bruggmann devant le célèbre crocodile. De g. à dr: Dr Philippe Roullet, Jean-Claude Bourgeon, Eva Bruggmann, le chien Zumri, Jean Garzoni, Maximilien Bruggmann. Mission Blaka, 1968.

Voir aussi:

maximimilien-bruggmann.ch

les-amis-de-maximilien.org

www.maximilienbruggmann.com

La caméra Paillard Bolex 16mm utilisée pour le tournage de l’unique film documentaire réalisé par Maximilien Bruggmann, « Ombres bleues du Tassili » (1960-1961).
L’appareil Hasselblad 6×6 avec lequel Maximilien Bruggmann a photographié ses plus belles images jusque dans les années 80… avant de lui préférer le Nikon 24 x 36, plus pratique, plus léger et (presque) aussi bon.