Moussa ag Amastan

DSC_0100s [Largeur max. 2400 Hauteur max. 1800]

Le Musée saharien possède plusieurs pièces rares, en particulier ce fanion de Moussa ag Amastan comportant en rajout le drapeau tricolore, signe d’allégeance à la France. Mais l’histoire du célèbre amenokal touareg n’est pas si simple et, s’il a choisi la paix avec l’occupant, c’est d’abord pour préserver la vie des siens, les Touareg du Hoggar.

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L’herbier de « Théodore »

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L’herbier de Théodore Monod exposé au Musée saharien

L’herbier de Théodore Monod a fait son entrée au Musée Saharien en décembre 1914.

Rahla 211 Monod Dessin MuséeThéodore Monod, qui fut président d’honneur de la Rahla, avait peut-être imaginé que son célèbre herbier, dans lequel il emmagasinait une partie de sa science, entrerait un jour dans un musée… Mais ce ne sera pas celui celui qu’il a dessiné avec humour en 1942 dans son livre L’hippopotame et le philosophe.
Béatrice, Ambroise et Cyrille Monod ont fait honneur à La Rahla en leur confiant pour être présenté au Musée Saharien le fameux herbier de « Théodore ». Celui-ci a une histoire, qui remonte à la nuit des temps…

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Henri Laperrine

Henri Laperrine

Henri Laperrine d’Hautpoul est né le 29 septembre 1860 à Castelnaudary (Aude), mort le 5 mars 1920 dans le Tanezrouft (Algérie). Il était général de division et ami de Charles de Foucauld.DSC_0067s

Le Musée saharien présente plusieurs pièces rares liées à l’accident d’avion qui, le 18 février 1920 , coûta la vie au général Henri Laperrine.

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Compagnies sahariennes

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Le décret du 19 avril 1902 a créé les Compagnies Sahariennes.

Héritières du Régiment des Dromadaires de l’Armée d’Egypte napoléonienne, héritières de la lente progression civile et militaire de la France dans le Sahara entre 1840 et 1902, ces unités et celles auxquelles elles ont donné naissance installèrent la paix française dans un territoire immense.

Elles surent gagner la confiance et l’estime des populations du désert « en livrant combat pour défendre le faible et l’opprimé contre les attaques des pillards venus de l’extérieur ou animés par les fanatiques » (Jacques Soustelle).